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ville de vanves - Page 393

  • NOEL ETRANGE, NOEL CHAGRIN, NOEL D’ESPERANCE A VANVES

    Cette semaine de Noël a étrangement commencée à Vanves comme ailleurs, les ruessesont désemplies à croire que les vanvéens sont partis en famille, profitant du déconfinement et d’une certaine liberté. Avec ses mauvaises nouvelles venues d’Angleterre et un appel à reconfiner dés le lendemain de Noël de certains élus et autorités médicales. A foutre le moral à plat de ceux qui sont restés dans note commune et qui vont vivre, pour la première fois un Noël confiné. De surcroit deux artistes ont disparus ces jours-ci : Pierre Brasseur, le dernier de la bande des quatre qui nous ont enchanté avec «Un éléphant ça trompe énormément» et "Nous irons tous au paradis" rediffusés hier soir sur France 3. Et Rika Zaraï qui a habitée longtemps à la limite de Vanves et d’Issy les Moulineaux dans cete maison blanche à l’angle des rues Nicot et de l’Université que l’on aperçoit du haut de la rue du Septembre

    Mais c’est le temps des messages de noël plein d’espérances auquel vous convie Sœur Marie Madeleine Caseau, supérieure des sœurs bénédictines de Vanves  (sur la photo) : «Un Noël étrangeseprépare. Il nous convoque à un surcroît de vie, d’espérance, de solidarité, sans nul doute d’hospitalité au cœur même d’un monde obligé de protéger tous les liens sociaux. Noël des paradoxes douloureux que nous pouvons convertir en paradoxes joyeux d’espérance et de confiance. Noël des paradoxes douloureux par la solidatité de la porte d’à côté et l’isolement partout dénoncé. Noël des paradoxes douloureux par la fraternité offerte et par l’humanité découverte. Nous voulons faire de ce Noël un Noël des paradoxes joyeux d’espérance et de confiance en puisant à la Source de la Parole faite chair la substance même  de notre fraternité purifiée, épaulée, enracinée dans le Mystére d’Amour fou de Dieu. Il ne cesse de créer libtement, gratuitement par pur amour et nous donne de participer à  son œuvre intégrale.

    Nous vous souhaitons de prendre réolument la route de cette incernation offerte pour que ce Noël revête les habits de la joeuse espérancedc et la confiance, et que l’année 2021 vous fasse vivre cette aventure divine. Nous prenons ce chemin en communauté, e congrégation, le regard du christ fixe sur le Christ ressuscité, présent au milieu de nous, en chacun de nous »

  • A VANVES, BEAUCOUP DE PASSIONNES VIVENT LE VENDEE GLOBLE GRÄCE A « VIRTUAL REGATTA »

    L’auteur du Blog a au moins rencontré trois vanvéens passionné par ce jeu vidéo qui aurait dépassé le million de joueurs selon le Parisien. Un jeu vidéo de course au large mis au point par une société isséenne créé par de jeunes passionné de voile qui l’ont construit au fil de l’eau.

    Les passionnés se retrouvent en conditions réelles, pouvant voir où leur voilier se situe sur la carte, mais aussi sur la mer et dans quelles conditions il navigue selon la météo, s’il fait nuit ou jour. Ils se voient confier, comme un crai skiper un imoca, choisissent leurs voiles et « foils », ces ailes qui font voler les bateaux au-dessus de l’eau. Cette simulation suit à la lettre, les régles officielles « Birtual Racing Rules of Sailing» élaborées avec la Fédération Internationale de voile qui délivre chaque année le titre de « esailing Workd Champion » depuis 2018.

    L’idée est né d’une rencontre entre Philippe Guigné, ex-skipper, et Loïc Peyron qui aprés l’abandon du Vendée Globe en 2008 parequ’il avait cassé son mât, lui avait demandé : «Tu pourrais me recréer mon bâteau là, où j’ai cassé mon mat et réviser le Pacifique Sud pour terminer mon Vendée Globe». Loïck Peyron est devenu le conseiller spécial de Virtual Regatta, appelant ses concepteurs  «pour nous dire qu'il aimerait bien voir des baleines dans les Açores ou des albatros dans le Grand sud. Et on va le faire » confiait au Paroisien Philippe Guigné qui a reçu des tas d’encouragements :  «Les gens nous disent qu'ils voyagent grâce à nous». Un des vanvéens rencontrés dont le blog respecte la discrétion,  est l’un des meilleurs placés dans le classement, ainsi que que Ian Lipinski, sklipper  (sur la photo) qui se prépare à un prochain Vendée Globe que le Blog avait rencontré récemment

  • UN NOUVEAU COMMERCE EPHEMERE A VANVES POSE QUELQUES QUESTIONS

    Le nouveau commerce dit éphémére apparut au début de la semaine dernière place du Val (de Lattre de Tassigny) à l’emplacement d’un salon de coiffure, porte bien son nom. D’autant plus que la commerçante est obligé chaque fois de tout  installer le matin  et de tout remballer en fin de journée, car ce local n’est pas assuré à cause de vitres non conformes selon les assurances. Occasion de rappeler qu’une boutique éphémère ou « pop-up store » est  ouverte sur une période de temps limitée allant de quelques jours à quelques mois. C’est un concept de boutique qui a le vent en poupe en France.  Pour un local qui aurait été préempté par la mairie, cela fait quelque peu désordre

    Même si les vanvéens peuvent se réjouir devoir s’ouvrir un commerce quel qu’il soit  dans le Centre Ancien en souffrance du point de vue de l’animation commerciale, il n’en reste pas moins que certains d’entre eux se sont étonnés de sa devanture qui semblerait en contradiction avec les règles préservant le patrimoine vanvéen, ce qui illustrerait le peu d'attention porté par la Ville à ce patrimoine et témoignerait  peut-être également d’un dysfonctionnement. La couleur de la façade les a étonné puisqu’il placé  à moins de 100 mètres de l'église St Remy, bâtiment classé depuis 1928. L’un d’entre eux a même été jusqu’à  demander si l'ABH (architecte des Bâtiments de France) avait été, comme il se doit, consulté puisque cette place du VAL se trouve dans le périmètre de co-visibilité d'un monument historique. Il a même consulté le Samp 92 (service métropolitain de l'architecture et du patrimoine 92 sud) qui lui a répondu négativement. Ce qui est quelque peu gênant d’autant plus que les autres commerçants sur place ont eu quelques difficultés avec ce service de l'Etat pour les façades de leur boutique lorsqu’ils se sont installés ou ont effectués des travaux de rénovations.

    Cette petite histoire révèlerai-t-elle  donc une mauvaise surveillance par la ville des devantures commerciales. Mais il y a peut-être plus cocasse selon quelques élus de l’opposition. Ce local aurait été préempté par la ville ! On se demande bien pourquoi puisqu’elle la municipalité s’est toujours refusé à le faire comme l’atteste certaines déclarations en conseil municipal ou en réunion publique. Mais ils n’auraient pas trouvé trace d'une délibération en ce sens dans le compte-rendu des délibérations du conseil municipal. «Si cette préemption était avérée, la situation serait quand même baroque puisque cela signifierait que la ville a (en tant que propriétaire du local) enfreint les règles patrimoniales ... » ajoute l’un d’entre eux